Port-au-Prince, la capitale des balles perdues

Vivre à Port-au-Prince, c’est être exposé constamment à la mort. Même les quartiers qui ne sont pas sous l’emprise des gangs armés, ne sont pas à l’abri du phénomène de l’insécurité. Des cas décès par balles perdues sont devenus monnaie courante, ont en recense presque chaque semaine. Les cas les plus proches sont datés du mardi 11 février 2025. Il s’agit d’un écolier et un étudiant au département des relations internationales au Centre d’Etudes Diplomatique et Internationales (CEDI), du nom de Macénat Lebelt âgé de 22 ans.Ils ont été atteints de balles perdues. L’écolier a été blessé et malheureusement l’étudiant quant à lui, n’a pas survécu.